// L'éternité

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Le monde il n'était pas ce livre ouvert donc nous le croyions
L'amour ardent et insatiable se dépérit face l'aridité de la routine, jour après jour
Je l'ai abandonnée pour l'un rêve d'ado sur les ailes du inconnu.
"Alena n'existerá jamais..." Mes larmes devirent les siennes
Sourtout, je laissai arrière le plus qu'une part de moi, mon premier amour, ma première femme, ma première vie... Sa phrase est encore persistant: "Personne ne t'aimera jamais autant que je t'ai aimé"
Maintenant, je me rends compte ce-qu'elle voulait dire dans cette pluevieuse nuit d'aout, l'un samedi soir, 1987.
Je souviens le ciel tombant tandis que je retournais chez-moi.
Les souvenirs restent indélébiles, etternels...
Indélébile comme l'odeur à fumée sortant d'un cussinière à bois, au sueur d'un cheval en trâinant la charrette sous le soleil d'un matin chaud tout enregistrés sur la partie de la memmóire cella qu'on appelle l'ame.
Très très exotique pour un garçon du IAPI, cellui qui regardait le monde par la fenêtre gauche de la salle à séjour, cellui qui vivrait advontures à peine dans la cour de la maison et qui habitait la gourbi au fond.
Selon la légend, je suis né dans une lointaine gourbi, foyer des jeunes agriculteurs, pendant une tempête sur le champs de blé.
Ces évenements de la nature ont sur moi un effet excitant dés lá. Mes parents m'ont porté à la ville, la cité, à l'âge de trois mois. Donc, j'habbiterais à la maison de ma grand-mêre.
Il y avait des tas des matins dans l'avenir, allors...
Où le soleil trouve son alliée, la mer. ...